L'alpinisme est généralement une discipline exigeante demandant beaucoup de connaissances et des heures de pratique pour se développer en toute autonomie. Mais c'est aussi la discipline reine de la montagne, permettant de vivre des sensations extraordinaires. Alors pour une première découverte de l'escalade et du sommet avec une corde, la meilleure solution est de partir avec un accompagnateur. Découvrez comment profiter pleinement et en toute liberté de la montagne.

Comment choisir le guide ?

C'est évidemment le point de départ. Pour cela, vous avez 2 options. Vous pouvez choisir en fonction de votre lieu de vacances. En effet, la plupart des grandes stations et villages des Alpes et des Pyrénées disposent de bureaux pédagogiques ou d'agences spécialisées dans les sports de montagne. Il suffit de les contacter en amont et de s'organiser avec eux en cours de route. Vous pouvez aussi choisir un guide spécifique et vous rendez sur la parcelle qu'il vous propose. C'est donc la logique inverse, le choix de votre guide vous guide dans le choix de votre destination. L'avantage de cette approche est qu'elle vous donne plus de liberté dans le choix. C'est un élément essentiel, car la bonne compréhension et la confiance sont déterminantes pour l'expérience que vous allez vivre. Si vous choisissez cette option, le bouche à oreille est sans aucun doute le meilleur moyen de trouver un guide qui vous convienne. 

Certains guides proposent des cours de groupe pour commencer, puis vous entrerez dans un groupe que vous n'avez pas encore choisi. D'autres choisissent d'être seuls avec leurs guides. Si cette option est beaucoup plus onéreuse, elle vous permettra évidemment de créer une prestation sur-mesure et de vous rapprocher du guide qui vous accompagne. Vous pouvez faire appel à une agence de voyage comme mmv. Pour plus d’informations, cliquez sur ce site spécialisé.

Pouvez-vous opter pour le sommet que vous allez faire ?

Le guide vous propose un parcours adapté à votre niveau, à la météo du jour, à la fréquence du parcours, à la saison ou aux conditions de terrain (surtout, s'il y a des passages sur le glacier). Autant de paramètres qui ne dépendent pas de vous, mais doivent absolument être pris en compte lors du choix d'une course. Notez que les informations que vous fournirez à votre guide guideront le choix de la course. Soyez le plus honnête et véridique possible (nombre et durée des séances, kilométrage et dénivelé, etc.). Il vous demandera notamment si vous avez déjà de l'expérience en randonnée, en alpinisme ou en escalade, à quelle fréquence et à quelle fréquence vous faites de l'exercice. Vous pouvez préparer des vacances sur-mesure chez mmv.

Est-ce qu'il existe des prérequis physiques ?

Le pouvoir de la guerre est d'adapter le choix de la race à votre niveau physique. En d'autres termes, plus vous êtes en bonne santé, plus vous avez d'options et de possibilités. En fait, les correspondances simples sont moins nombreuses et plus fréquentes. Mais pas de panique : il existe différents types de matchs, il ne vous reste plus qu'à trouver celui qui vous convient. Une des compétences d'un bon guide de haute montagne est de savoir choisir le bon parcours pour son client. Concernant les conditions physiques, les compétitions d'alpinisme demandent l'endurance, car l'effort s'étale sur plusieurs heures ; le sac ayant une bonne résistance aux dévers, que ce soit les muscles en montée ou les genoux en descente ; apprendre à vous connaître et à connaître votre corps dans l'effort, restez toujours un peu debout et restez éveillé. 

L'escalade, est-elle nécessaire ? Cela dépend du type de compétition que vous voulez jouer. Évidemment, ceux qui grimpent sont mieux adaptés pour grimper sur des rochers (par exemple pendant les jantes). Encore une fois, cela vous donnera plus de marge de manœuvre, mais ce n'est pas du tout nécessaire pour une première course en montagne.

Comment se préparer ?

Si vous souhaitez préparer votre corps, vous pouvez faire un exercice qui demande de l'endurance et du cardio (course à pied ou vélo). Randonner avec un sac à dos est aussi un excellent moyen de se préparer. Si vous avez une randonnée guidée à plus de 3 000 mètres, cela peut valoir la peine de faire une randonnée au-dessus de 2 500 mètres le week-end ou la semaine avant votre ascension. C'est ce qu'on appelle l'acclimatation à l'altitude. Passer du temps à haute altitude permet à votre corps de produire les globules rouges dont il a besoin pour transporter l'oxygène qui se raréfie à haute altitude. Vous devez également bien préparer votre sac. Soyez le plus léger possible. Les débutants sont souvent surchargés, car ils n'ont pas assez de compagnie lors de la préparation du sac. De peur de manquer, leurs sacs sont remplis de choses inutiles. Cela complique évidemment la montée car chaque gramme compte. 

Pour vous aider à préparer votre sac d'alpinisme, vous pouvez suivre les conseils du magazine Montagnes. Utilisez le plus petit pot de crème solaire possible pour le minimalisme à la maison. Connaissez votre équipement. Il n'est pas rare de porter des chaussures de location et des crampons pour la première fois en escaladant une montagne. En revanche, votre sac ou votre harnais peut vous appartenir, ce qui vous fera gagner du temps et des efforts. En fait, l'utilisation de votre équipement familier simplifie votre tâche.

Que devez-vous faire le jour J ?

Vous avez atteint la dernière étape ! Pour que tout se passe bien le jour J, il existe des conseils. Courir ne sert à rien. Ne commencez pas à courir sur les marches d'approche. Cela vous amène là où vous allez être lié. Il faut savoir garder son rythme pour ne pas frapper à fond MS quand la difficulté commence. Voulant parfois gagner quelques minutes sur une marche d'approche, vous vous retrouverez en difficulté tout au long de la partie. Donnez à votre corps le temps de s'échauffer, l'effort sera long et il faudra s'y tenir sur le long terme. N'oubliez pas de vous hydrater et de manger. 

L'hydratation est essentielle afin de faciliter votre acclimatation en haute altitude. Cela aidera votre corps à s'adapter aux effets de l'altitude. Au milieu d'une action intense, cependant, nous oublions presque les choses les plus simples : boire et manger. En alpinisme, manger ne veut pas dire faire un bon pique-nique. Les grimpeurs ont rarement le temps de le faire, ils mangent en fin de journée. Il faut donc prévoir des collations à grignoter en chemin et lors des petites pauses. 

En alpinisme, il n'est pas rare de se réveiller très tôt (par exemple avant 4 h du matin) après avoir passé la nuit dans les hauteurs à l'abri complet. Les nuits courtes ou les insomnies sont des difficultés supplémentaires qu'il faut gérer, mais pas de panique : tout le monde est dans le même bateau. Enfin, faites-vous confiance et gardez une longueur d'avance. En alpinisme, parfois, on a l'impression de voler, et parfois, on pense qu'on n'arrivera jamais à la ligne d'arrivée. C'est normal, c'est une discipline qui demande de la synthèse : longues heures d'effort, dénivelé, manque de sommeil, peur du vide, dangers imprévisibles. Dans les moments de doute, il n'y a qu'une solution : la confiance. Si votre guide choisit ce parcours, il sait que vous pouvez le faire. Il vous suffit donc de garder une longueur d'avance à votre rythme.